Sommet du repreneuriat: la coop, un modèle viable
La reprise collective d'une entreprise fait partie des modèles à envisager autant pour les employés que pour un entrepreneur prêt à prendre sa retraite. Ce n'est pas plus long ni plus complexe que le repreneuriat dans la famille ou par de purs étrangers.

Au contraire, le modèle coopératif a fait ses preuves au Québec et l'histoire démontre un taux de survie plus grand des coopératives et une profitabilité que n'ont pas toutes les entreprises incorporées.
C'est ce qui se dégage de l'atelier sur la reprise collective, l'un des 17 du genre pendant le premier Sommet international sur le repreneuriat qui se tenait à Montréal vendredi.
Coopérative de travailleurs ou d'usagers, la reprise ne prendra pas plus de temps que les autres types de repreneuriat, où l'on constate des démarches sur des périodes dont les périodes de planification varient entre deux et huit ans. «En moyenne, le repreneuriat collectif peut s'effectuer sur une période de trois à cinq ans», racontait Alain Saint-Jacques, conseiller du Centre de transfert d'entreprise du Québec (CTEQ), l'un des quatre experts de l'atelier.
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